Si les États-Unis invitent autant au voyage, c’est en grande partie en raison de l’imaginaire qui s’en dégage. Le cinéma américain, en particulier, a su façonner cet imaginaire au fil des années. Dans les prochaines semaines, nous vous proposerons un road-trip à travers les villes les plus iconiques du cinéma américain. En commençant par la mythique New York.
Partie 1 : New York, New York
Votre arrivée se fera bien entendu à New York, l’une des villes les plus représentées à Hollywood. Des pires mafieux aux plus grands super héros, la ville a été le théâtre de certaines des plus grandes histoires jamais contées.
New York, la ville qui a inspiré les plus grands réalisateurs
Il s’agit évidemment de la ville culte de Martin Scorsese qui en a fait un personnage à part entière de la plupart de ses films. La ville y est à l’honneur jusque dans le titre de ces plus grands succès. On arpentera la ville en pensant à New-York New-York au Loup de Wall Street, ou encore à Gangs of New York. Woody Allen a également su personnifier New York, dans Annie Hall, Manhattan ou encore Hannah and Her Sisters.
Les ruelles de la ville, ses docks et ses restaurants italiens ont particulièrement marqué les films de gangsters. Le Parrain, Les Affranchis, American Gangsters et The French Connection s’y déroulent tous en grande partie. De quoi découvrir les quartiers de Five Points, Lower East Side et Little Italy avec quelques clichés en tête.
Les monuments les plus iconiques du cinéma
La Big Apple a été également le décor de nombreux films d’action, comme Spider-Man, Godzilla ou bien Une Journée en Enfer. Certains des bâtiments les plus mythiques de New-York ont joué un rôle capital au cinéma. On se souviendra évidemment de l’Empire State Building, maltraité par King Kong mais aussi par les aliens de Independence Day. La Statue de la Liberté a, quant à elle été victime du monstre de Cloverfield et des combats des X-Men.
Avant de quitter le tumulte de la ville, n’hésitez pas à profiter d’un des nombreux bars de la ville. Vous pourrez y retrouver le jazz de Cotton Club, de Coppola, ou du joli mais méconnu New York Melody.
La semaine prochaine, nous irons au Nord, vers Boston et Chicago.